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Rappel du premier message :

Séisme au Japon (Tsunami) 11 mars 2011



Le Japon a été touché par un terrible séisme, d’une magnitude de 8.9 sur l’échelle de Richter. L’épicentre était situé à 375 kilomètres de Tokyo, au large des côtes orientales du Japon et à une profondeur de 25 km. La durée de la secousse a été très longue, près de 5 minutes ce qui confirme l’importance du tremblement de terre. Plusieurs répliques ont eu lieu quelques minutes après le premier séisme violent de 8.9. Un précédent séisme avait eu lieu mercredi, d’une magnitude de 7.2, sans faire de dégâts

La catastophe est déjà là Gilou.

Les 6 réacteurs sont touchés. 3 étaient à l'arrêt au moment du séisme, ce qui ne les exemptes pas de problèmes.

La cause première est le manque de refroidissement pourquoi ?
1 Le tremblement de terre à coupé l'alimentation électrique.
2 Le Tsunami a bouché les arrivées d'eau dans la centrale et à endommager les générateurs diesel qui n'ont pas pu se mettre en marche.

Aujourd'hui 3 réacteurs sont en fusion partiel, mais plus grave encore lorsque le combustible est usé on le place dans des piscines car ils sont encore dangereux pendant des centaines d'années.
Chaque réacteurs a une piscine et l'ensemble a une piscine également ce qui fait 7 piscines en tout et dans ses piscines il y a plusieurs réacteurs nucléaires usagés (Combien ? on parle de 3 pour le réacteur N°3) donc potentiellement on a XX réacteurs nucléaires.
Les japonais ne peuvent plus alimenter ces piscines en eau, donc les barres se trouvent hors d'eau partiellement et chauffent et dégagent des particules radioactives , l'eau chauffe à son tour et fait baisser le niveau et puisque l'on ne peut pas amener d'eau imaginez le problème.
Des techniciens sont toujours dans la centrale et sont quasiment condamner le procédé de larguage d'eau par hélicoptère montre que les japonnais ne savent plus comment faire. Le larguage annulé cause trop forte radioactivitée aurait de toute façon été aléatoire comment toucher la piscine à cette hauteur ?
Je crois sincèrement qu'il faut s'attendre au pire car ce n'est plus maitrisable.

La différence avec Tchernobyl c'est qu'il n'y a pas eu d'explosion avec colonne très haute dans le ciel et un incendie qui a duré plusieurs jours, mais là c'est l'environnement et le sous sol qui risque de "trinquer" lourdement ainsi que les populations.

Les réacteurs arrêtés depuis 3 mois les 4 5 et 6 ont perdus beaucoup d'iode c'est la seule bonne nouvelle si l'on peut dire.

Jean Michel

merci a toi jean mi pour toutes ses infos!
rien de tres rejouissant pour les jours a venir!
je pense qu'ils vont devoir revoir leur echelle de gravité.7 me parait pas suffisant par rapport a la gravité du probleme!
contrairement a la fin du monde on aura eut l'occasion de voir la fin d'un pays si tout cela ne s'arrange pas!
pauvre population japonaise qui n'est pratiquement pas au courant du risque qu'ils encourent!
"comment les gouvernements feraient pour prevenir 3 milliards personnes de l'imminence de la fin du monde...,??? ils n'ent feraent rien!"
(source:film 2012)

et pour en rajouter une couche..

Neige et désespoir dans la région de Sendai

Neige, froid, répliques, odeurs pestilentielles: rien n'épargne les sauveteurs du nord-est du Japon, qui déplacent des montagnes de débris mais n'attendent plus de miracle dans la région la plus touchée par le séisme.
Dans les trois jours ayant suivi la catastrophe, seuls deux rescapés avaient été extraits des décombres, selon les médias locaux. Et les responsables des opérations de secours affirment que les chutes de neige, depuis mercredi, amoindrissent leurs chances de trouver des survivants.

Un blanc manteau a recouvert Otsuchi, port de pêche où se trouve Patrick Fuller, responsable de la Croix-Rouge, au nord de Sendai. "La visibilité n'est que de 40 mètres", témoigne-t-il. "Les sauveteurs travaillent toujours, l'armée est là. Mais les pompiers sont partis car ils s'inquiètent de ne pas pouvoir retourner à leurs bases en raison de la neige."

À Sendai, où des quartiers entiers sont devenus de vastes zones inondées, les pompiers et sauveteurs déblaient les débris d'usines et de maisons.

Comme dans la plupart des villes, ils ne découvrent que des cadavres qu'ils enveloppent d'une couverture et alignent, avec précaution, dans le paysage blanc et sinistre.

"La forte odeur des corps et l'eau de mer boueuse rendent les recherches extrêmement difficiles", dit Yin Guanghui, membre d'une équipe chinoise de secours dans la ville d'Ofunato.

"Dans cette zone (au nord de Sendai), les fortes vagues du tsunami ont frappé les maisons plusieurs fois. Quiconque pris sous les débris a été noyé en un rien de temps, sans aucune chance de survie."

Les pelleteuses s'agitent à Rikuzentakata, inondée à plus de 80% selon les pompiers, qui estiment que la neige ne fera qu'aggraver la situation.

Dans toutes ces villes, les survivants ont tout perdu.

Ils doivent faire face à des répliques fréquentes, certaines de magnitude 6, à des rationnements en nourriture et en eau et n'ont plus ni électricité ni chauffage pour se protéger des températures négatives.

L'eau arrive par camion et les équipes de sauvetage en distribuent trois litres par personne.

La télévision japonaise NHK donne des conseils pour garder la chaleur - se recouvrir de papier journal et de film alimentaire - et faire bouillir de l'eau avec des bougies.

Les personnes âgées constituent la majorité des occupants des abris de fortune.

La taille de la vague...

impressionnant!!

En effet!

oh la vache! j'avais jamais vu cette video encore! comme vous dite, impressionnant!!